Solution Geb pour les Hôtels et restaurants traditionnels

Savez-vous comment traiter vos biodéchets alimentaires, avec zéro bactérie tout en valorisant votre démarche environnementale ?

  • Hôtels et Restaurants traditionnels

  • Vous accompagner dans la gestion des déchets organiques alimentaires grâce à un système sans bactéries.
    Voir notre exemple : Reportage

Hôtels et Restaurants

Valorisez vos démarches environnementales

Restauration : une nouvelle page dans vos menus !

Les acteurs de la Restauration et de l’Hôtellerie sont ancrés dans une démarche active de protection de l’environnement (Voir notre exemple : Reportage France 2 du 27/01/2022).

Leur implication éco responsable à toutes les étapes de leur métier n’est plus à prouver aujourd’hui à travers entre autres leur sélection des produits pour le “bien manger”ou encore la lutte contre le gaspillage alimentaire.

Leur volonté de limiter l’impact carbone de l’activité de restauration sur l’environnement passe par la recherche de solutions innovantes.

Le volume des déchets de préparation et les restes d’assiette pour la restauration reste une préoccupation du quotidien.

Le déshydrateur Geb répond pleinement aux problématiques de gestion des biodéchets pour les professionnels de la restauration. Il rend visible leur engagement pour l’environnement au yeux de leur clientèle de plus en plus avertie et exigeante en termes d’écoresponsabilité.


Reportage Extrait du 13h de France 2 – Diffusion le 27/01/2022

Exemple de la démarche du chef aux mains vertes Jean-Michel Lorain à Joigny, dans l’Yonne.

Vidéo du Journal télévisé 13/14 France 2 du 27 janvier 2022 : Mon idée pour la France

Reportage en détail

Une nouvelle distinction fait son apparition dans le guide Michelin, celle des étoiles vertes. Elle récompense les chefs qui font une cuisine écologique, favorisant les circuits courts et faisant la chasse au gaspillage. En France, 82 restaurants la détiennent, comme Jean-Michel Lorain à Joigny, dans l’Yonne.

– début du reportage –

Jean-Michel Lorain :

« Mon idée pour la France c’est d’allier ma passion pour la cuisine avec celle que j’ai pour la nature et la biodiversité. En produisant une partie de nos légumes, en favorisant les producteurs locaux, en proposant à nos clients une carte de vins natures et en adoptant une technique innovante pour la gestion de nos déchets. »

Voyage sur les terres de Jean-Michel Lorrain au coeur de l’Yonne. A bord de sa voiture électrique le chef aux 2 étoiles Michelin, parcourt sa région à la recherche de produits respectueux de la planète.
Là, en face de son établissement, il a créé un jardin, un paradis pour la biodivesité qu’il bichonne avec son maraîcher.
Ici, pas de plastique pour protéger les sols, et en guise d’engrais, il y a le compost issu des cuisines du restaurant.
Le chef est venu faire son marché : quelques fleurs de bourrache, des poireaux, ce jour là il est aussi inspiré par ce thym citronné.

Jean-Michel Lorain :

« Il est bien parfumé, et puis il peut servir de déco pour rappeler l’herbe utilisée dans le plat, j’aime bien qu’on identifie ce que j’ai dans mes assiettes. Ma philosophie c’est de rester connecter à notre terroir, à la terre qui nous entoure, et de venir chercher, autant que faire se peut, le maximum de choses sur place. »

Des fournisseurs au plus près, comme cette maraichère à 2 km. Elle pratique une agriculture raisonnée, fournit les légumes de saison.
En cuisine, tout est prêt pour sublimer ces produits locaux qui vont accompagner un poisson de la région. Soucieux de l’environnement, le chef de La Côte Saint Jacques a même adapté sa carte :

« Devant la raréfaction de certains types de poissons, la raie, le bar, on a décidé d’enlever ces produits qu’on aimait beaucoup de la carte, de faire l’effort, de manière à trouver des alternatives, soit des poissons locaux, soit des poissons de mer sur lesquels il y a moins de pression de pêche. »

Trente minutes plus tard, verdict des clients :

« Excellent ! C’est aussi une redécouverte pour des gens de mon âge qui ont connu des produits frais, sains et sans appellation Bio. Et aujourd’hui on est vraiment dans ce cadre là, on est dans le local ! C’est quelque chose qui est très important et qui me touche beaucoup, parce qu’on le retrouve dans nos assiettes, et le bien manger c’est aussi une bonne santé. Donc c’est parfait ! »

Une cuisine vertueuse avec des produits bios, notamment des vins, et un recyclage quasi total des déchets.
Ce sont toutes ces pratiques qui ont permis à Jean-Michel Lorain  d’obtenir une étoile verte du Guide Michelin, et cette distinction n’est pas si courante, nous dit ce critique gastronomique :

« Ce souci vertueux de travailler avec une agriculture locale et vertueuse, c’est une nouveauté chez les chefs. Les grands chefs faisaient venir du monde entier des produits dont ils n’avaient peut-être pas besoin : des agrumes du japon etc. La plupart, voyaient le monde et la mondialisation, une gastronomie ouverte à la planète avec tout ce que ça peut avoir de conséquences néfastes. »

Amoureux de son terroir et de sa planète, Jean-Michel Lorain espère inspirer d’autres grands chefs. Son prochain défi : rendre sa cuisine moins énergivore en préparant ses plats avec moins de gaz et d’électricité.