Solution Geb pour la Grande Distribution

Quelles solution pour la grande surface, les supermarchés, hypermarchés ?

  • Les grandes surfaces, super et hypermarchés

  • Une solution pour la déshydratation de vos déchets alimentaires pour 100 kg de biodéchets par jour.
    Voir notre exemple : Reportage

Supermarché, hypermarché

L’utilisation du déshydrateur Geb Solutions est idéal pour les professionnels de la Grande Distribution (Voir notre exemple : Reportage France 3 du 08/02/2022). La majorité d’entre eux sont d’ores et déjà concernés par la réglementation issue du Grenelle II sur les biodéchets.

Ce secteur de l’alimentation est confronté à des enjeux colossaux en termes de gestion de ces déchets, que ce soit au niveau économique ou environnemental.
Le coût de gestion des déchets alimentaires (invendus) est une variable économique qui pèse lourdement sur les coûts de fonctionnement dans ce secteur.
Beaucoup d’entre eux peinent à trouver des solutions pour maîtriser ces coûts.Parallèlement à ce constat, les attentes gouvernementales sur la réduction de l’empreinte carbone des professionnels de la Grande Distribution sont grandes.

Geb solutions vous garantit une solution immédiate de maîtrise des flux économiques liés au biodéchets et en accord avec une démarche responsable sociétale et environnementale.


Reportage France Grand Est – Diffusion le 08/02/2022

Exemple d’utilisation d’une Geb par une grande surface à Sedan

« Un déshydrateur révolutionnaire a été mis au point par deux ardennais. La machine retire l’eau des déchets pour en faire de la matière sèche. Une manière de faire des économies et de lutter contre l’enfouissement et de favoriser le développement durable. » – France 3 Grand Est –

Vidéo du Journal télévisé 19/20 France 3 Champagne Ardennes – Diffusé le 08 février 2022

Reportage en détail

Quelques heures seulement pour déshydrater les déchets, c’est la promesse d’une machine mise au point par deux Ardennais, une manière de faire des économies mais aussi de lutter contre l’enfouissement et de favoriser le développement durable, les centres commerciaux et les collectivités s’y intéressent de près.
A Sedan reportage de Sébastien Valent / Pascal Thine / L. Klein – France 3, JT 19-20 Champagne-Ardennes

– début du reportage –

Un dispositif innovant et une machine révolutionnaire, un comptage accéléré d’une vingtaine d’heures capable de diviser par 10 le poids des déchets organiques par déshydratation.

Responsable Société Antigaspilles, créateur du projet

« Tout ce qui est de matière organique est rentré à l’intérieur, on va retirer l’eau qui s’y trouve pour avoir une matière sèche, cela va réduire la totalité de ce qu’il y a à l’intérieur. »

Un procédé en trois phases, un chauffage à 80 degrés avant broyage puis refroidissement pour récupérer le fameux substrat.

« On se retrouve avec une poudre, tout simplement comme de la terre, du marc de café, c’est un substrat… hyper biologique.»

Président de Geb Solutions, constructeur du déshydratateur

« Il y avait des déchets dont on ne savait pas quoi faire, maintenant on a une solution qui est très concrète, qui est très facile car il suffit de tout mettre dans la machine, d’appuyer sur un bouton et d’attendre que ça se passe. »

Différents gabarits pour chaque machine, des contenances allant de 2 kg à 1,3 Tonne, dans cet hypermarché, une machine pour 300 Kg de matière organique qui permettra d’alléger le coût total du traitement des déchets estimé à 70 000€/an. Acheté 93 000€, elle permettra d’économiser entre 25 et 30 000 € chaque année.

Responsable des produits frais à Leclerc Sedan

« On gère à peu près entre 250 à 300 Kg par jour avec cette machine, ce qui avant partait à la poubelle. »

« C’est vite rentabilisé parce qu’il y a moins de rotation des bennes, moins de tri qui est fait par une autre personne que nous et qui derrière n’est pas du tout revalorisé, alors que là on revalorise les déchets. »

Une révolution en matière de tri des déchets qui intéresse déjà fortement nombre de centres commerciaux mais aussi collectivités pour les cantines scolaires ou les ehpad notamment. 

Responsable du service « Bio-diversité, Nature en Ville » à Charleville-Mézières

« On passe de 300 Kg de déchets à 30 Kg d’amendement organique qui peut être utilisé ailleurs, donc on s’y intéresse de près et on va essayer de réfléchir à des projets pour la collectivité.

Le substrat obtenu 100% naturel, devrait lui intéresser le monde de l’agriculture comme substitut aux produits chimiques existants, un cercle vertueux ou comment allier écologie et économie.

– fin du reportage –